Dimanche dernier, Finn Balor écrivait l’histoire en devenant le premier WWE Universal Champion. Malheureusement, son rêve a été de courte durée puisqu’il a du rendre son titre le lendemain à RAW pour cause de blessure. L’irlandais s’est enfin exprimé sur les réseaux sociaux à ce sujet dans un message poignant :

“Quelle semaine folle. Le matin de SummerSlam, je me suis réveillé avec une énorme positivité et mon corps se sentait mieux que jamais. A l’instant où je me suis blessé, je savais que c’était sérieux. J’ai eu la réaction instinctive de tout remettre en place. Je suis rentré dans un mode de survie. Quand la cloche a sonné, j’avais gagné, j’étais champion mais j’étais réticent à l’idée de célébrer car je savais déjà au fond de moi ce qui m’attendait à Raw. Déçu, oui, mais j’étais CHAMPION et je ne manquais pas à mon devoir d’apparaître à Good Morning America. Après des heures de scanners et malgré mes espoirs, le pire a été confirmé lundi à 17 heures. Je devais me faire opérer le plus rapidement possible et rendre le titre à Raw.Le plus dur dans tout ça a été quand j’ai repassé le rideau, je me sentais impuissant. Malgré toutes les émotions que j’ai pu ressentir les dernières 24 heures … j’étais toujours CHAMPION. Cela m’a donné la force. Maintenant je ne le suis plus … Mardi à 3 heures du matin je suis allé à Birmingham Alabama. Dr. Dugas m’a préparé pour l’opération, comme si une photo de Seth Rollins nous surveillait. Ce qui devait être une opération d’une heure est devenue une opération de 4 heures. Dès le début de l’intervention, le docteur a découvert bien plus de dégâts que les scanners avaient montrés. Déchirure du labrum, déchirure du biceps et du tendon pectoral, cartilage abimé, fracture de la cavité glénoïde. Mercredi à 5 heures du matin, je me suis réveillé groggy et souffrant. La gravité de la situation commençait à être réalisée. La rééducation débutait à 9 heures. Jeudi à 5 heures j’ai pris un vol pour Orlando, visite avec le personnel médical du Performance Center et on a commencé à préparer le retour.”

Source : caq.fr